Magnifique ! Le Pr Raoult crache le morceau
Cher(e) ami(e) de la Santé,
C’est officiel : nous avons désormais un porte-voix médiatique et puissant : le Pr Raoult !
Certes, il ne défend pas les médecines naturelles (ce qui ne l’a pas empêché de confirmer ce que je vous disais sur l’importance du zinc contre le Covid-19).
Mais ce qui compte, c’est que le Pr Raoult a compris que notre système de santé est perverti… et il n’hésite pas à le dire à la France entière !
Vous ne pouvez pas imaginer à quel point je suis heureux de l’entendre dire haut et fort ce que je dénonce depuis des années.
Lisez bien cette lettre jusqu’au bout, et transmettez-là à vos proches, vous allez voir que ses révélations sont absolument décisives :
L’hallucinant COUP MONTÉ contre la chloroquine
Dans ma dernière lettre, je rappelais que l’hydroxychloroquine est un des médicaments les plus sûrs qui existent.
Je vous disais que, très bizarrement, les médias et les autorités de santé ont essayé de vous inquiéter sur la « dangerosité » de cette molécule.
Pour le Pr Raoult, c’était du « délire », et même, « l’histoire la plus fantasque qu’il a entendue en médecine de sa vie ».
La semaine dernière, on est encore monté d’un cran dans ce délire, avec l’étude publiée dans le Lancet.
Cette « étude » annonçait que l’hydroxychloroquine provoquerait 30 % de morts en plus !
Tout de suite, je vous ai dit que c’était une étude « poubelle », « truquée ».
Pour une raison simple : des essais cliniques randomisés comportant des milliers de patients sont réalisés en ce moment même en France (Discovery), en Grand-Bretagne (Recovery), en Europe (Solidarity) et au Canada.
Toutes ces études sont d’une qualité infiniment plus grande que celle du Lancet, car ce sont de vrais essais cliniques, avec de vrais malades (et non pas un « traitement statistique »).
Or aucune de ces études sérieuses n’a observé de « surmortalité » avec l’hydroxychloroquine, sans quoi ils auraient arrêté l’essai depuis longtemps.
Bref, il était évident dès le départ que cette étude du Lancet ne valait rien.
Mais plus on avance, plus on découvre l’ampleur du « bidonnage » :
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Dans cette étude du Lancet, le nombre de morts australiens du Covid-19 était juste délirant, impossible - « une erreur », ont fini par avouer les auteurs, qui avaient classé un hôpital asiatique comme « australien » !
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Autre bizarrerie statistique, l’étude trouve qu’il y a exactement autant de fumeurs ayant le Covid-19 en Asie, aux Etats-Unis ou en Europe, ce qui est totalement invraisemblable !
Pire : des hôpitaux du monde entier se demandent comment les auteurs de l’étude ont pu se procurer des chiffres sur leurs propres patients, alors qu’ils ne les ont communiqués à personne !
Tout cela est tellement étrange que le Pr Raoult s’est demandé publiquement si ces chiffres n’ont pas été inventés, purement et simplement !
Au total, le Pr Philippe Froguel, professeur au CHU de Lille et à l’Imperial College de Londres, a dit tout haut ce que pensent tous les scientifiques sérieux :
« Je ne suis pas pro-Raoult mais l'étude publiée par The Lancet, c'est une merde »[1].
L’étude du Lancet : un « assassinat en règle » du Pr Raoult et de son traitement
Mais il reste à comprendre quelque chose qui paraît incompréhensible :
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Pourquoi un journal aussi prestigieux que le Lancet a accepté de publier une étude aussi manifestement « bidonnée » ?
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Pourquoi l’Organisation mondiale de la Santé s’est-elle précipitée pour « suspendre les essais » sur l’hydroxychloroquine, alors qu’on savait dès le départ que les conclusions du Lancet sur le danger de ce médicament étaient fausses ?
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Pourquoi le Ministre de la Santé Olivier Véran en a-t-il profité pour interdire l’hydroxychloroquine aux malades ?
La raison est effrayante : tout est fait pour empêcher de prouver l’efficacité de ce vieux médicament.
On veut « tuer la chloroquine », a déclaré le Pr Froguel, qui n’est pourtant pas du tout un défenseur de ce médicament.
Ce « meurtre » est bien expliqué par le Dr McDonald, qui dirige une étude clinique au Canada :
« La publication des résultats du Lancet est problématique pour les essais cliniques randomisés et à double insu dont la méthodologie est meilleure, car, d’une part, plusieurs de ces essais vont probablement s’arrêter, et d’autre part, ils auront désormais plus de mal à recruter des patients, alors que, pourtant, ils allaient fournir des résultats beaucoup plus fiables »[2]
Même diagnostic pour la Dr Luanne Metz, coordinatrice d’une autre étude clinique appelée « HOPE COVID-19 » :
« L’étude du Lancet risque de changer la perception qu’auront les patients de ce médicament. Si les patients croient qu’il est dangereux, ils auront peur de participer à notre étude et nous aurons du mal à recruter de nouveaux participants. Il sera ainsi assez difficile de poursuivre l’étude ».
En clair, l’étude du Lancet a réussi son objectif : torpiller les essais cliniques en cours !
C’est d’autant plus regrettable que certaines études, comme HOPE COVID-19, avaient l’immense mérite de tester l’hydroxychloroquine au tout début de la maladie, comme le recommande le Pr Raoult !
A Montpellier, l’étude Covidoc était la seule en France à tester le protocole Raoult dans son intégralité : l’hydroxychloroquine et l’azithromycine, en début de maladie.
Mais c’est fini, on n’en connaîtra jamais les résultats !
Voici ce que vient de déclarer Jacques Reynes, patron du service des maladies infectieuses du CHU de Montpellier :
« Lundi 25 mai, j'ai reçu un mail de l'agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), et j'ai suspendu immédiatement les essais.
Si on en reste là, on n'aura pas de réponse sur l'intérêt du traitement. L'étude du Lancet est un "assassinat" en règle. »[3]
C’est tout simplement terrible, scandaleux.
Maintenant, j’en arrive à la partie la plus importante de cette lettre.
Je demande toute votre attention, car ce que je vais vous révéler va bien au-delà de la question de la chloroquine et du Covid-19.
Vous le savez : parmi les responsables de cet « assassinat », il y a l’industrie pharmaceutique.
Je vous ai déjà parlé des conflits d’intérêts et de l’influence des laboratoires comme Gilead ou Abbvie.
L’influence de Big Pharma est énorme, délétère… mais elle n’explique pas tout.
Il y a aussi beaucoup de scientifiques sans liens d’intérêts directs qui ont participé à ce « délire » contre l’hydroxychlorquine.
Alors pourquoi ? Comment est-ce possible ?
La raison est que derrière la crise actuelle, il y a un modèle économique totalement perverti.
Et là encore, c’est le Pr Raoult qui l’explique le mieux :
Un exemple éclatant : l’azithromycine contre le ZIKA
Prenez l’affaire du virus Zika, racontée par le Pr Raoult dans son livre récent, Epidémies : vrais dangers et fausses alertes.
Le Zika est un virus qui peut causer de graves malformations du fœtus, lorsqu’il infecte des femmes enceintes.
Or, comme l’explique le Pr Raoult, il pourrait exister une solution simple et peu coûteuse :
« J’ai suggéré à Didier Musso de tester un antibiotique dont on sait qu’il fonctionne souvent sur les virus ARN : l’azithromycine, un médicament banal que l’on donne fréquemment aux enfants et aux femmes enceintes.
Ce médicament marche parfaitement sur le virus Zika, d’ailleurs une autre équipe a publié sur un modèle expérimental l’efficacité de ce même traitement.
Mais Didier Musso, qui est pourtant l’homme le plus connu dans tout le domaine du Zika, m’a expliqué que ce travail que nous avions réalisé en commun a été le plus difficile à faire publier parmi tous ceux qu’il avait proposés jusqu’alors ».[4]
Donc, un chercheur reconnu internationalement aurait trouvé une solution efficace et sans risque contre le virus Zika… et il a eu les pires difficultés à la faire connaître ??
Comment est-ce possible ? Voici la raison de fond, donnée par le Pr Raoult :
« Trouver une solution simple, avec un médicament ancien pour un problème nouveau, est quelque chose qui est difficilement envisageable dans nos sociétés.
Pour le Zika, l’azithromycine est un médicament extrêmement prometteur chez les femmes enceintes.
Mais non : il fallait du nouveau, et dès l’alerte lancée sur le virus Zika, des sommes pour trouver de nouveaux traitements étaient distribuées par millions.
Et si un chercheur rusé publiait tout ça, expliquant que c’était inutile, que ces millions ne serviraient pas directement à ça et qu’il suffisait d’employer un médicament générique, cela mettrait en l’air des décisions politiques importantes et des financements majeurs, et donc irait totalement à contre-courant. »
Et c’est exactement la même histoire avec l’hydroxychloroquine !!!
« Cela n’intéresse personne d’utiliser des médicaments anciens »
Tout le système économique de la santé repose sur les « remdésivir » et « kaletra », ces nouveaux anti-viraux hors de prix.
Alors si un Professeur barbu de Marseille a le malheur de dire qu’un médicament vieux de 50 ans peut être efficace, c’est tout notre système qui risque de s’effondrer !
« Cela n’intéresse personne d’utiliser les anciens médicaments connus et tombés dans le domaine public », avait expliqué le Pr Raoult sur BFM TV.
« C’est la course en avant technologique. Avec des brevets qui durent très peu de temps (20 ans), il faut trouver une nouvelle molécule pour faire de l’argent. »
« Tout notre modèle scientifique et économique est basé sur le développement de nouvelles molécules. C’est une affaire financière et culturelle : l’idée qu’on va répondre à chaque fois avec une molécule extrêmement chère. »
Oui, tout notre système de santé est fondé là-dessus… y compris les honneurs et les gloires pour les chercheurs !
« Avec la chloroquine, on coupe l’herbe sous le pied de plein de gens qui rêvaient de décrocher le Prix Nobel pour avoir trouvé un nouveau médicament ou un nouveau vaccin », avait ironisé le Pr Raoult.
Vous comprenez pourquoi nos grands pontes n’ont même pas besoin d’être financés directement par Gilead pour s’opposer aux anciennes molécules peu coûteuses.
C’est 95 % de la recherche mondiale… donc 95 % des scientifiques qui sont financés, directement ou indirectement, par Big Pharma…
…donc si on mettait un coup d’arrêt à ce système perverti, tout ce petit monde scientifique perdrait énormément d’argent et de prestige !
Et le pire, c’est que la recherche actuelle se concentre sur ce qui rapporte, et non sur ce qui soigne !
Cela peut paraître fou, mais pour faire du profit, il n’y a rien de pire qu’un médicament qui guérit.
Ce n’est pas moi qui le dis, mais la banque d’affaires Goldman Sachs, qui l’a expliqué noir sur blanc dans un rapport intitulé « Guérir les patients est-il un business modèle soutenable ? »[5]
La réponse des financiers de Goldman Sachs fait froid dans le dos : c’est NON !
« Les remèdes qui guérissent immédiatement représenteraient un intérêt formidable pour les patients et la société, mais pourraient être un obstacle pour ceux qui cherchent un cash flow financier durable ».
Et voilà comment la recherche scientifique est détournée de l’intérêt général depuis des années.
Un vaccin contre le Sida ou contre le Covid-19 ? un « défi idiot »
Prenez la quête d’un vaccin contre le Sida.
Depuis des années, le Pr Raoult se montre très critique sur l’intérêt de chercher un vaccin contre cette maladie, pour une raison simple et évidente[6].
Contrairement à la grippe ou à la rougeole, le sida ne crée aucune réponse immunitaire naturelle… ce qui rend particulièrement peu probable la capacité des scientifiques à en fabriquer une, de toutes pièces !
Mais les vaccins sont un business hyper juteux, car ils touchent la totalité d’une population (et pas seulement les malades), avec des « rappels » à intervalles réguliers.
Voilà pourquoi Big Pharma s’acharne à essayer de trouver de nouveaux vaccins : il y en a plus de 150 en préparation, alors que nous n’en avons absolument pas besoin !
Et ce qu’il faut réaliser, c’est que ces recherches font vivre des milliers de scientifiques à travers le monde.
Dans le cas du Sida, les milliards dépensés pour trouver un vaccin n’ont servi à rien pour la société… mais ils n’ont pas été perdus pour tout le monde !
Et il n’y a que des « renégats » comme le Pr Raoult qui osent le dire haut et fort :
« C’est une des raisons pour lesquelles une partie de la communauté scientifique du Sida me déteste, car si les gens me croient, cela va leur couper une source qui leur a permis de dépenser des milliards »[7].
Vous comprenez mieux, à présent, le tir de barrage contre le Pr Raoult ?
Aux yeux du « système », il est doublement fautif : non seulement il propose un médicament ancien etpeu coûteux plutôt qu’une molécule nouvelle et juteuse…
…mais en plus, il ne croit pas du tout à l’intérêt de chercher un vaccin contre le Covid-19 – alors que cela occupe en ce moment même des milliers de scientifiques partout dans le monde :
« Il est déjà difficile de vacciner correctement contre la grippe, alors contre un nouveau virus… Honnêtement la chance qu’un vaccin pour une maladie émergente comme le coronavirus devienne un outil de santé publique est proche de zéro. »[8]
Vous voyez, ce n’est pas seulement les profits de Big Pharma qui sont en jeu… mais le financement et le prestige d’une grande partie de la communauté scientifique !
« Si vous dites maintenant, alors qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver des nouvelles molécules, qu’il suffit de recycler des molécules anciennes qui sont génériquées et qui ne coûtent rien, vous sciez toute une branche de la science qui s’est développée depuis 20 ans et donc vous avez les plus grandes difficultés à trouver des gens qui regardent cela avec un œil favorable », a expliqué le Pr Raoult sur la chaîne I24news.
Comme le Pr Raoult est un médecin « classique », il pense surtout aux (vieux) médicaments.
Mais ce qu’il dit là est encore plus vrai pour des molécules naturelles hyper prometteuses, comme les huiles essentielles, la quercétine ou la plante Artemisia Annua !
Voilà la vraie cause de l’hostilité vis-à-vis des médecines naturelles !
Écoutez-bien ce que dit le Pr Raoult :
« Si, ce qui est possible, l’hydroxychloroquine est un médicament relativement général pour les infections virales respiratoires, cela veut dire qu’on avait quelque chose sous la main depuis 70 qu’on n’a pas testé.
Il est possible qu’il y en ait d’autres, de molécules aussi banales, qu’on n’a jamais testé, et qu’on n’a pas testé des molécules qui marchaient. »
Et en effet, je peux vous le confirmer !
Dans le domaine de la santé naturelle, quantité de molécules hyper utiles n’ont pas été testées correctement, car cela ne rentre pas dans le « modèle économique ».
Et le monde scientifique ne veut surtout pas changer de système, car ce serait reconnaître qu’il s’est dramatiquement fourvoyé depuis au moins 30 ans !!!
Cela jetterait donc le discrédit sur toute la recherche médicale… et tous nos grands pontes qui profitent de ce système depuis des années !
Conclusion du Pr Raoult :
« Tout cela heurte un modèle économique (pas seulement des intérêts) : comment développer une molécule qui n’est plus rentable ?
On ne sait pas le faire dans notre monde.
On a développé des molécules nouvelles, mais comment développer des molécules qui sont anciennes ?
On ne sait pas bien le faire, donc il y a une hostilité par rapport à cela. »
Encore une fois, cette hostilité est encore pire vis-à-vis des molécules naturelles !
Non seulement les remèdes naturels ne rentrent pas dans le « modèle économique », puisqu’ils ne sont pas brevetables…
…mais en plus, les molécules naturelles sortent totalement du « logiciel de pensée » de la plupart des médecins…
…y compris d’un grand Professeur non-conformiste comme Didier Raoult !
Mais peu importe, ici, que le Pr Raoult ne soit pas un fervent défenseur des médecines naturelles.
Ce qui compte, c’est qu’il décrit notre système de santé avec une force et une lucidité extraordinaires !
Et ce qu’il a observé sur des médicaments anciens et génériqués, comme l’hydroxychloroquine et l’azithromycine…
…nous le constatons tous les jours avec des molécules naturelles très efficaces mais totalement ignorées des médecins !
Alors faites passer le message !
C’est une occasion historique d’ouvrir les yeux aux Français, car le Pr Raoult est écouté dans toute la France !
Transmettez cette lettre autour de vous, vos proches vous en remercieront.
Enfin une explication à l’incompréhensible !
Enfin une explication à l’hostilité des médias et de l’establishment médical contre l’hydroxychloroquine.
Enfin une confirmation magistrale des vraies raisons du rejet des solutions naturelles !
Bonne santé,
Xavier Bazin